L’attractivité des territoires apparait comme un concept multidimensionnel. Elle est généralement assimilée à la capacité d’un territoire à attirer mais aussi à retenir des populations, des entreprises, des revenus, des capitaux, de la main d’oeuvre. Si pendant longtemps l’attractivité a été appréhendée principalement comme la capacité à attirer, nombre de participants de l'étude soulignent que l’attrait d’un territoire doit inclure le désir de rester durablement. « Attirer c’est bien, mais conserver, n’est-ce pas mieux ? »
Cette étude a été menée par le groupe « dynamiques territoriales » du Réseau Connaissance du Territoire, piloté par la Région et l’INSEE-PACA, et animé par le réseau des agences d'urbanisme du territoire.
La présente Lettre apporte un éclairage sur l’avancement des travaux. L’AURAV a contribué à la réalisation du diagnostic territorial et à la formulation des orientations qui viendront nourrir les documents cadres et conventions prochainement établis.
La loi relative à l’accélération des énergies renouvelables (dite APER) a été approuvée le 10 mars 2023. Le réseau des Agences d'urbanisme du Sud (AURAV, AUDAT, AGAM, AUPA, AUA) propose un premier décryptage des impacts de la loi (en attendant la publication des décrets) sur la planification territoriale et la définition des zones d’accélération.
La sobriété foncière passe notamment par des formes urbaines réinventées compacte et de qualité qui répondent aux besoins des habitants, aux évolutions des modes de vie et surtout anticipent les effets du changement climatique. Cette publication s'inscrit en continuité du travail...
En présence de Violaine DEMARET, Préfète de Vaucluse, ce moment important de la vie de l’agence s’est poursuivi par un séminaire sur la sobriété foncière : comment concilier ambitions écologiques et solutions d’aménagement, qui a réuni plus d’une centaine d’élus et techniciens.
Afin d’accompagner les collectivités et de faciliter la mise en œuvre des OHF, l’AURAV travaille actuellement à la production d’une méthodologie partagée et d’un process adapté aux territoires vauclusiens et du Gard Rhodanien. En ce sens, elle animera le 4 juillet un club de l’observation partenarial qui permettra de co-construire avec l’ensemble de ses membres la feuille de route de l’Agence sur ces futurs observatoires.